Bienvenue dans notre antre !
Obscyra, c’est pas pour plaire.
On ne t’emballe pas dans du coton. On gratte, on dissèque, on éclaire là où ça dérange. Ce qu’on veut ? Comprendre ce qui se joue, révéler ce qui se tait, et foutre un peu le feu aux illusions.
1. Auteurs – Les Voix d’Obscyra
Derrière Obscyra, il y a des voix. Multiples. Incisives. Radicales. Chaque auteur, une lucidité, une obsession, une faille. Viens voir qui parle, et pourquoi ça mord.
2. Collections – Nos Obsessions Éditoriales
Nos livres ne sont pas classés par genre, mais par fissures. Tabous, pouvoir, exil, lucidité, mémoire. Chaque collection est un cri structuré, un champ de mines littéraire.
3. Livres Gratuits – Pour ceux qui osent entrer
Tu veux tester Obscyra ? Tu vas devoir t’engager. Crée ton compte, télécharge un livre, et lis-le sans filtre. Pas de spam. Juste un pacte : tu lis, tu ressens, tu restes… ou tu pars.
4. English Side – Enter at your own risk
Obscyra speaks English too. But we don’t soften the message. Same fire, same bite. Come in if you’re done with the sanitized truth.
Je m’appelle Sinaï Draak. Obscyra est ce que j’ai créé quand j’ai cessé de demander la permission.
🔻 1. “Non, tu n’es pas fou. C’est juste que tout sonne faux.”
On nous gave d’infos, mais jamais de sens.
On t’explique tout, sauf ce qui compte. Et quand tu poses une vraie question ? On te rit au nez, ou on te range dans la case “complotiste”, “fragile”, “déconnecté”.
Tu crois que tout le monde est d’accord ? Normal, les autres voix n’ont pas le micro.
Mais t’es pas seul à sentir que quelque chose cloche.
Obscyra part de là : ce décalage sourd entre ce qu’on te montre et ce que tu ressens.
On ne prétend pas détenir LA vérité. On prétend juste que t’as le droit de la chercher sans être traité de parasite mental.
Et ça, aujourd’hui, c’est déjà une provocation.
🔻 2. “Obscyra, c’est ce que mon cerveau multipotentiel n’a jamais trouvé ailleurs.”
J’ai mis du temps à comprendre. Ce truc dans ma tête qui veut creuser, connecter, recouper, démonter, assembler, hurler parfois – il n’entre dans aucune case.
Je suis ce qu’on appelle une “multipotentielle”. Une étiquette pour dire : “trop de passions, trop d’idées, pas assez de plafond”.
Mais aucun endroit n’a jamais permis de relier tout ça. Partout, il faut choisir un sujet. Un ton. Une posture.
Obscyra est né de ce refus.
Ici, on trace les lignes entre philosophie et survie, tabous et exil, pouvoir et mémoire.
On ne hiérarchise pas les thèmes. On les relie.
Parce que ce monde est un patchwork, pas un PowerPoint.
🔻 3. “On s’auto-édite parce qu’on s’auto-détermine.”
Obscyra, c’est pas une maison d’édition. C’est une zone libre.
On n’a pas d’éditeur. Pas de comité pour lisser nos angles. Pas de service com pour valider nos sujets.
On choisit nos thèmes, nos mots, nos colères.
On parle de manipulation sociale, d’exil forcé, de crimes passés, de croyances tues.
Pas pour buzzer. Pas pour choquer. Mais parce qu’on le peut. Parce qu’on le doit.
On a fait le choix de l’indépendance, donc du risque.
Mais aussi de la cohérence : dire ce qu’on pense, même si ça ne plaît pas.
Et crois-moi, ça ne plaît pas souvent.
Parfait.
Livre trop dérangeant pour rester à plein tarif
La vérité est en promo. Les dégâts, eux, ne le sont jamais.
Tu veux lire ? Commence par participer.
Obscyra offre ses premiers livres. Mais pas à tout le monde. Il faut un compte. Pourquoi ? Parce qu’on veut que tu sois prêt à lire pour de vrai, pas à consommer en scrollant.
Crée ton compte. Accède à des livres gratuits. Pas des cadeaux. Des électrochocs.
Tu peux partir après. Ou rester pour tout lire.
Mais lis avec les yeux ouverts. Pas avec l’estomac vide.
Abonne-toi. Pas pour être informé. Pour être secoué.
La newsletter d’Obscyra, c’est pas une suite d’annonces fades et de “bonnes nouvelles”.
C’est une intrusion dans ta boîte mail. Une gifle mensuelle.
Un résumé de ce qu’on dérange, ce qu’on expose, ce qu’on déconstruit.
Pas de promo déguisée. Pas de paillettes.
Juste des textes qui laissent des traces, des angles morts révélés, et parfois une question que tu n’oublieras pas de sitôt.
Si tu veux du contenu propre et poli, abonne-toi ailleurs.
Ici, on écrit comme on respire : en creusant.